Si les actifs montrent régulièrement des inquiétudes quant à leur pouvoir d'achat, les retraités ne sont pas en reste... Dans une étude de TNS Sofres réalisée pour BNP Paribas et le magazine "Notre Temps", 55% des plus de 65 ans jugent leur retraite insuffisante. Mais c'est surtout l'avenir qui les préoccupe le plus. De fait, ils sont 62% à penser que bientôt leur retraite ne leur suffira plus !
Il faut dire qu'ils estiment touchés par la crise (à 74%). Ainsi, plus d'un retraité sur deux constate que son niveau de vie a baissé. Parmi les postes pour lesquels les budgets ont été réduits, les loisirs arrivent largement en tête.
Avec le recul, un tiers des retraités avoue aussi ne pas avoir suffisamment préparé la retraite : Parmi ceux-ci, un tiers regrette de ne pas avoir épargné plus et un tiers de ne pas avoir commencé à épargner plus tôt. Or pour beaucoup, il est désormais trop tard pour épargner... 6 seniors sur 10 n'ont pas épargné au cours des douze derniers mois, les deux tiers d'entre eux avouant ne pas en avoir eu les moyens.
Reste tout de même que près de 40% des retraités ont pu mettre de l'argent de côté sur l'année écoulée. Si la volonté de se constituer un pécule pour faire face aux coups durs a été leur principale motivation, une majorité (56%) de ceux qui ont épargné l'ont également fait pour aider leur famille.
D'ailleurs, l'étude pointe ici du doigt un phénomène important, celui de l'aide intergénérationnelle. Car sur l'ensemble des retraités, 75% avouent aider leur famille. Très concrètement, 46% ont même déjà fait une donation aux enfants ou envisagent d'en faire une. Les donations aux petits-enfants sont plus en revanche plus rares (15%).
Globalement, l'aide financière apportée aux enfants sert souvent à l'achat du logement. Ceci étant, la première raison invoquée (47% des cas) est l'amélioration de leur quotidien.
Au delà de nos seniors qui s'inquiètent et ils ont tout à fait raison c'est tout les citoyens de tous les pays de la zone euro qui devraient s'inquiéter car en France seul les députés et sénateurs sont à l'abri de la crise.
Ce qui les a définitivement dégoutés les seniors, c'est l'arrêt Nutella car ils sont en première ligne !
faux ! :D
j'ai horreur de cette saleté écœurante bourrée de calories
je préfère le foie gras avec un vieux MONBAZILLAC :D
J'ai un ami retraité qui se plaint mais il roule en BMW et chaque fois qu'il a 3 ronds, il part en croisière à l'autre bout du monde et il s'étonne qu'un jour on ne puisse plus payer sa retraite
Pour résumer l'opinion des retraités et d'une partie des spécialistes cités dans cet article, c'est que, pour eux, la situation est "normale" et qu'il n'y a pas de raison de changer.
Sauf que les retraités qui vivent bien (tranche 65-74 ans) ont encore environ 20 ans à vivre, 35 pour certains d'eux or le système actuel sera mort dans 10 ans (les caisses de l'Agirc seront même vides avant cela). Leurs enfants, proches de la retraite à ce moment-là, les aideront peut-être à finir leurs vieux jours en évitant le dénûment en mémoire des aides passées !
Quant à la génération suivante, minée par le chômage, vae victis...
tkt le retraité , va pleurer ailleurs, ton sort en est jeté , 2000€ par mois sinon la chambre médicalisé tu ne l'auras pas à moins que tu acceptes de vendre ton bien immobilier car tes enfants et ta mutuelle ne te suivent plus , tu deviens un consommateur boulimique.
gouvernés!!!!!!!!!!!!!!!!!!
donc nous sommes bien gouverner par une oligarchie à la mode française "vous avez dit:république et droit de l'homme" chimères des peuples.......
Toujours très drôle l'argument :
"sur l'ensemble des retraités, 75% avouent aider leur famille. Très concrètement, 46% ont même déjà fait une donation aux enfants ou envisagent d'en faire une. "
Et ils font quoi les actifs avec les cotisations sur leurs salaires ?
Deja, ils ont une retraite, c'est pas mal. Quand aux jeunes galopins, ils n'ont pas de boulot, ou paye une misere. Alors, d'ou viendront les retraites futures?
De la réindustrialisation de la France, donc de la baisse des dépenses publiques
Le lien de cause à effet entre baisse des dépenses publiques et ré-industrialisation ne me semble pas si évident.
Le cas de la GB semble prouver que ce n'est pas une condition suffisante pour autant qu'elle soit seulement nécessaire.