Des tendances toujours porteuses pour l’immobilier en Amérique du Nord

Des tendances toujours porteuses pour l’immobilier en Amérique du Nord

Avec un bon accompagnement, il peut être judicieux de diversifier ses investissements immobiliers au Canada ou aux Etats-Unis.

Des tendances toujours porteuses pour l’immobilier en Amérique du Nord
Crédit photo © Altitude International Realty

Pour ceux qui veulent diversifier leurs investissements immobiliers en sortant de nos frontières, l’Amérique du Nord reste une piste incontournable. Dynamisme économique et faible chômage sont deux caractéristiques précieuses pour un investissement locatif qu’on retrouve aux Etats-Unis et au Canada. Le cabinet parisien Altitude International Realty, spécialiste de l’investissement immobilier en Amérique du Nord, accompagne les particuliers dans leurs investissements sur cette zone et ne tarit pas d’éloges sur les perspectives immobilières des Etats-Unis et du Canada.

Les prix remontent aux Etats-Unis

Aux Etats-Unis, l’indice de référence des prix de l’immobilier Case Shiller montre une augmentation supérieure à 5% entre janvier 2016 et janvier 2017 au niveau national et sur les 20 plus grandes agglomérations. Le marché continue d’être alimenté par les acheteurs internationaux, lesquels ont représenté l’an dernier plus de 19% des ventes en Floride avec 47 000 biens achetés pour une valeur totale de 19,4 milliards de dollars. Alors pourquoi pas vous ? Altitude International Realty souligne que la plupart des experts prévoient une croissance des prix située entre 3% et 5% pour 2017. Depuis l’arrivée de Donald Trump au pouvoir, la baisse de la fiscalité attendue pourrait même rendre les actifs immobiliers américains encore plus  attractifs.

L’attractivité de Montréal

Au Canada, les prix ont affiché une hausse de 3% en moyenne en 2016. Altitude International Realty apprécie tout particulièrement le Québec, la plus grande province du Canada, qualifié de «marché sain» avec des prix en hausse de près de 2% sur 2016. Le prix médian d’un bien au Québec s’est établi en 2016 à 230 000 dollars canadiens (environ 164 000 €), soit 20% inférieur à celui du Canada anglophone. Au mètre carré, Altitude International Realty estime les prix moyens autour de 3 000 € à Montréal, principale métropole  du Québec. Sachant que Vancouver va souffrir cette année de la mise en place d’une taxe de 15% pour les non-résidents, Montréal devrait encore gagner en attractivité. Autre tendance favorable pour 2017, la région métropolitaine de Montréal va poursuivre son atterrissage sur le marché des copropriétés neuves. Avec environ 7 000 mises en chantier prévues (-40% par rapport au pic de 2011), le surplus de copropriétés neuves constaté dans certains quartiers devrait petit à petit se résorber, estime Altitude International Realty.

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Dynamique socio-économique

Le dirigeant d’Altitude International Realty, Victor Pagès, parle aussi d’une dynamique socio-économique apporteuse de bonnes nouvelles à long terme. Aux États-Unis comme au Canada, un certain nombre de données sociales permettent en effet de regarder l’avenir du marché immobilier avec optmisme. Aux États-Unis, Victor Pagès cite l’arrivée sur le marché immobilier des «Millenials», jeunes couples de la génération Y (entre 18 et 34 ans). Cette génération dépasse aujourd’hui celle des baby-boomers avec plus de 75,4 millions de personnes. Pour le Canada, il faudra bien loger l’arrivée potentielle d’une immigration renforcée, dotée d’un pouvoir d’achat CSP+. A l’heure actuelle, le Canada accueille déjà  plus de 300 000 immigrants chaque année et pourrait voir ce chiffre augmenter prochainement…

La possibilité d’emprunter

Comme aux Etats-Unis, le Canada bénéficie d’une convention fiscale permettant aux investisseurs français d'éviter la double imposition sur leurs revenus fonciers grâce à un mécanisme de crédit d'impôts obtenu en France. Mais le gros avantage du Canada est la possibilité de financer son bien en partie avec un emprunt, ce qui n’est pas possible aux Etats-Unis où il faut payer cash. Un investisseur français pourra ainsi avoir accès au crédit dans une banque canadienne dans des conditions quasiment identiques aux résidents canadiens et à des taux d’intérêt qui sont actuellement très attractifs bien que supérieurs à ce qu’on trouve en France. Tout cela demande bien sûr un accompagnement complet que nous avons déjà détaillé.

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