La réduction des Finances publiques a encore du chemin à faire. En dépit de la volonté affichée du gouvernement de redresser les comptes de la France après le "quoi qu’il en coûte" de la gestion de crise sanitaire – ses efforts sont encore insuffisants, pointe la Cour des comptes dans son rapport annuel sur l’état des finances publiques, qu'elle doit présenter ce vendredi matin.
?? La Cour présentera demain, 10 mars, : « La décentralisation 40 après ». ?? Rdv dès 9h30. ?? Mardi 14 mars, 17h15, présentation à l’Assemblée nationale. ?? Mercredi 22 mars, 16h30, présentation au Sénat.#RPA2023 pic.twitter.com/a097zcsqGK — Cour des comptes (@Courdescomptes), via Twitter
D'après l'institution, les dépenses publiques ont encore progressé de 3,5% en volume en 2022, et devraient encore augmenter de 0,7% cette année – sans compter les efforts budgétaires imputés à la sortie de crise sanitaire – 37,5 Md€ - ni même les mesures de protection contre l’inflation – 25Md€ en 2022 et 36,3 Md€ en 2023.
Une trajectoire de la dette problématique
Alors que les prévisions de croissance et d’évolution des taux d’intérêt ont été révisées à la baisse ces derniers mois, l'équilibre des Finances publiques se complique encore davantage. La Cour des comptes tire la sonnette d'alarme en particulier sur le niveau de la dette, qui devrait atteindre 111,2% du PIB en 2023.
Une situation problématique pour la place de la France dans la zone euro dont l'endettement public pourrait compter parmi les plus élevés du groupe européen d’ici à 2027, aux côtés de la Grèce et de l’Italie, a prévenu Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes.
Ce dernier a fait savoir que l’Institution présenterait dans les prochaines semaines des propositions à l'exécutif - sous la forme de sept notes thématiques - pour redresser la trajectoire des Finances publiques, en repassant notamment dès que possible le déficit public sous la barre des 3% du PIB.
Moscouici est l'archétype du vers rose rouge : opportuniste, fonctionnaire, incompétent, arriviste.
oh que oui !
Moscovici brillant ministre des finances, avait su contenir les dépenses en son temps... MDR
Et lorsque la plus infime réforme est avancée pour corriger cela, ceux qui en bénéficient, les assistés, avec le concours de la gôche, veulent mettre "la France à genoux".
La réforme des retraites avec toutes les concessions va être un jeu à somme nulle. Si il y urgence sur une réforme, c'est celle de l'état, qui nous un poignon de dingue, pour des services digne d'un pays du tiers monde.
Depuis 40 ans :
- la Cour dénonce le niveau de vie des Français financé par la dette
- les fonctionnaires sont embauchés en veux tu en voilà alors qu'ils sont 1 million en sureffectif
- des entreprises nationalisées engloutissent les milliards que les Français devront rembourser : Edf, Sncf, etc
- les régimes de retraite, les indemnités chomage généreuses, les 35 h, les restos du beurre, le RSA, ... encouragent paresse et fraude
Les régimes spéciaux du Sénat et de l'Assemblée Nationale financés par nos impôts pour le plus grand plaisir des droitos.
"Devrait atteindre 111,2% du PIB en 2023" les milliards que l’État a donné à la SNCF et qui va certainement encore en donner es ce qu'ils ont étaient comptabilisés Non! Le PIB qui veut dire «Production intérieur brut » en France est tellement bas que même ce 111.2% est énorme il serait temps que la distribution de fond "qui manque" doit être coupé de toute part y compris les salaires mirobolants des députés et des sénateurs devrait être supprimé de moitié.
Après toutes les bêtises de macron et de son gouvernement depuis 6 ans, ceux-ci devraient rendre des comptes publiquement pour être incarcérés .
Macron n'a rien à voir, si un ou une autre personne avait été élu, le problème serait exactement le mème
C'est évident mais j'en connais un, ancien pseudo banquier, qui va demander une commission pour savoir ce qu'il faut faire.
mdr l'hypocr&sie de cette institution